Les pires fails de l’IA générative
Quand la machine fume un peu trop la carte graphique
L’intelligence artificielle, c’est génial. On lui demande un texte, elle l’écrit. Une image, elle la dessine. Un logo, elle le crée. Mais parfois… elle prend un peu trop de liberté. Résultat ? Des œuvres surréalistes qui oscillent entre le chef-d’œuvre avant-gardiste et le mauvais trip sous Photoshop. Voici un florilège des plus beaux ratés de l’IA générative, pour vous prouver que non, Skynet n’est pas encore prêt à dominer le monde (et heureusement).

Des logos dignes d’un brainstorming après trois mojitos
Créer un logo avec l’IA, c’est un peu comme demander à un enfant de 4 ans de dessiner un mouton : on reconnaît vaguement l’intention… mais il manque un truc.
Entre les polices qui partent en freestyle, les formes indéfinissables et les couleurs dignes d’un écran cassé, certains logos générés par IA nous offrent de véritables cauchemars graphiques.
Par exemple, un restaurant a failli lancer son enseigne avec un logo où l’on pouvait (mal) deviner une fourchette… ou un cornet de frites ? Non, un toboggan ? Bon, en fait, on ne sait toujours pas.
Exemple : Depuis sa fondation en 1976, Apple a traversé des phases contrastées, oscillant entre innovations révolutionnaires et périodes de remise en question. Son tout premier logo – une illustration détaillée d’Isaac Newton sous un pommier, façon gravure sur bois – fut rapidement abandonné. Trop complexe pour être apposé sur le boîtier minimaliste de ses ordinateurs, il cède sa place à une identité visuelle plus épurée : la célèbre pomme croquée. Aujourd’hui, près de 50 ans plus tard, Apple est une référence mondiale, avec un écosystème de produits qui s’étend des ordinateurs aux smartphones et tablettes, et un logo immédiatement reconnaissable.

Les propositions ci-dessus, générées par intelligence artificielle, revisitent le logo Apple avec ce qui pourrait apparaitre au 1er regard un esthétisme sophistiqué et détaillé. Et pourtant, si la première version pourrait trouver sa place sur un flacon de parfum, elle s’éloigne néanmoins de l’essence même de la marque : la simplicité et l’intuitivité. Les déclinaisons colorées, quant à elles, rendent hommage au logo arc-en-ciel emblématique de …. 1977. Loin de l’image innovante et technologique
L’IA puise ses inspirations dans l’histoire visuelle d’Apple, mais une marque comme celle-ci ne se contente pas d’un simple regard dans le rétroviseur. Elle doit continuellement aligner son image avec son ADN : une fusion parfaite entre innovation et accessibilité, entre esthétique et expérience utilisateur.
Des images surréalistes… très (trop) surréalistes
Demander une image à une IA, c’est toujours une aventure. Vous tapez « chien mignon dans un parc » et vous obtenez un chien à trois pattes avec un sourire humain. Une œuvre d’art ? Peut-être… mais uniquement si vous êtes fan des films d’horreur.
Dans la catégorie “fails mémorables”, un utilisateur a demandé un portrait réaliste de Napoléon… et a obtenu un empereur mi-humain, mi-loutre, avec des doigts en trop et un regard un peu trop insistant.
Course de chiens de vienne / Saumon dans la rivière / Pratique du Yoga



Textes générés : quand l’IA philosophe… mais sans dictionnaire
Les IA de rédaction, comme ChatGPT, peuvent rédiger des articles brillants. Enfin… quand elles ne décident pas d’écrire en langage extra-terrestre.
Petit florilège des meilleures absurdités produites par nos amis les robots :
« Le futur est un temps qui n’est pas encore arrivé mais qui est déjà passé pour certains. » (Platon, sors de ce serveur.)
« L’océan est bleu car il est grand et vaste comme le ciel, sauf quand il est vert. » (Euh… d’accord ?)
« Si vous voulez devenir riche, investissez dans ce que vous aimez… mais surtout investissez dans les investissements. » (Merci IA, on est sauvés.)
Des visages humains… enfin, presque humains
L’IA essaie tant bien que mal de nous dessiner des visages réalistes, mais parfois… c’est compliqué. On a déjà croisé :
• Des personnes avec six doigts sur une main (pas pratique pour compter).
• Des bouches qui ressemblent plus à des prises USB qu’à des lèvres.
• Des yeux asymétriques (mais parfaits pour voir dans deux directions à la fois).
Dans un test récent, une IA a tenté de générer une photo de groupe… Le résultat ? Une armée de clones mal assemblés, avec des bras qui fusionnent et des sourires à la Joker.


Quand l’IA interprète tout… un peu trop littéralement
Vous lui demandez une “poignée de main amicale”, elle vous sort une fusion de mains à la Salvador Dalí.
Vous tapez “chat jouant au piano”, vous obtenez un chat mi-saxophoniste, mi-mutant.
Et parfois, l’IA s’emmêle tellement les circuits qu’elle crée des scènes impossibles :
• Un coureur de marathon… avec trois jambes (un avantage certain).
• Une voiture sans roues mais avec des ailes (on attend la version Tesla).
• Un bébé… avec un corps d’adulte (futur patron de start-up ?).
Un homme qui mange un burger avec les yeux / Une femme qui doit tenir un parapluie / Des femmes à roulettes



On a encore un peu de temps avant que l’IA nous remplace.
Si l’IA est en pleine évolution, ces fails nous rappellent une chose essentielle : la créativité humaine reste irremplaçable (et heureusement, sinon on se retrouverait avec des logos en forme de patates et des portraits de famille façon Picasso).
Et chez Livingstone, on préfère encore confier nos créations à des humains. Enfin… pour l’instant.
Partagez avec nous vos pires fails d’IA ! #AIFail #QuandLaMachineDéraille
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